Daniel Burnier
Voir tous les auteurs

Daniel Burnier

Je suis un sociologue qui a le défaut d’être curieux des autres disciplines, même de la littérature (« Veut-il vraiment faire une carrière académique ? »), d’apprécier le débat pour le débat (« Il aime vraiment Marc Bonnant ?! »), d’acheter tous les albums de Bruce Springsteen (« T’es pas sérieux, si ? »), d’être ému par le bruit d’un ballon dans une lucarne et par les cris des enfants quand il neige (« Passe encore pour les gamins, mais le foot là non quand même… »). Ma recherche postdoctorale (2019-2023), financée par le Fonds national suisse de la recherche scientifique, s’intéresse à l’investissement d’impact dans la région lémanique et à son rapport à l’éthique.

Articles de Daniel Burnier

Jet d'ancre sur 22 décembre 2020

Le garçon qui ne voulait que jouer au football

« Depuis sa mort, j'ai eu envie de retrouver ces gestes familiers, mais lointains : jongler, dribbler du pied gauche et l'imiter une fois encore, comme je le faisais il y a 30 ans. » Le décès de Diego Armando Maradona, le 25 novembre dernier, a fait retomber le sociologue Daniel Burnier en enfance, où il nous amène dans cet article.