International Le 2 novembre 2017

Le centenaire du conflit israélo-palestinien

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Le centenaire du conflit israélo-palestinien

La vieille ville de Jérusalem et le Dôme du Roche. Avril 2017. Voyage en Israël et en Palestine avec Antonin Gendre © Andrea Gennai

Il y a cent ans aujourd’hui, les bases de l’affrontement entre Juifs et Arabes au Proche-Orient furent jetées. Dans une lettre datée du 2 novembre 1917, les Britanniques décidèrent de soutenir les aspirations sionistes en Palestine. Cette missive allait bouleverser l’histoire du Proche-Orient, ouvrant la porte à la création de l’État d’Israël. Pour cet anniversaire, Andrea Gennai revient sur les relations diplomatiques ayant précédé la prise de position politique britannique en faveur du nationalisme juif.


 

Le 22 septembre 2016, la 71ème Assemblée générale des Nations unies s’ouvre à New York. Mahmoud Abbas, président de l’Autorité nationale palestinienne (ANP), est à la tribune. Lors de son allocution, il presse les Britanniques de présenter leurs excuses au peuple palestinien1. La raison ? La Déclaration Balfour du 2 novembre 1917. Cette courte lettre adressée à Lord Rothschild est à l’origine du conflit israélo-palestinien. Dans celle-ci, Londres envisage favorablement la création d’un « foyer national pour le peuple juif »2 en Palestine. En pleine guerre mondiale, nul ne se doute encore des répercussions sur l’avenir du Proche-Orient. Et pourtant ! L’histoire de la région est totalement bouleversée. Les mots du ministre britannique Arthur Balfour constituent une étape cruciale vers la création de l’État d’Israël et l’abandon d’un État arabe en Palestine. Les bases du conflit sont ainsi jetées. Cent ans plus tard, Palestiniens et Israéliens n’ont toujours pas réussi à résoudre leurs contentieux. Israël s’apprête à fêter 60 printemps alors que la Palestine est toujours à la recherche de son État. Le centenaire du conflit au Proche-Orient est l’occasion de revenir sur l’origine de cette missive et les enjeux ayant motivé les Britanniques à soutenir le nationalisme juif en Palestine.

 

Le sionisme

 

« Si je veux résumer le congrès de Bâle d’un mot – que je me garderai de prononcer en public – je dirai ceci : à Bâle, j’ai fondé l’État juif. »

Theodor Herzl3

 

Le sionisme se réfère explicitement à une nostalgie de Sion, colline de Jérusalem sur laquelle a été bâtie la ville4. D’après l’historiographie sioniste, le mouvement est né lorsque les Juifs ont été chassés de Palestine à la suite de la destruction du Temple en 597 avant J.-C5. Depuis, les âmes juives entretiennent l’espoir de revoir un jour la cité de David. Après la dispersion, des Juifs s’installent néanmoins en Palestine à différentes époques de l’histoire sans que cela soit fait dans le cadre d’un mouvement organisé6.

Le XIXe siècle marque un tournant majeur dans l’histoire du nationalisme juif. En Europe, la situation des communautés juives est alarmante. À l’est, les Juifs subissent de fortes persécutions – les pogroms7. À l’ouest, leur condition est aussi préoccupante comme en témoigne l’affaire Dreyfus en France8. Plusieurs auteurs s’interrogent sur l’avenir social des populations juives. En raison de l’antisémitisme ambiant, l’intégration paraît compromise. L’émigration, la voie révolutionnaire socialiste, la résistance passive à la persécution ou encore la création d’un État juif indépendant sont les quatre possibilités qui s’offrent aux Juifs9. La parution de L’État juif de l’Autrichien Theodor Herzl en 1896 secoue les milieux intellectuels juifs10. La solution nationale est petit à petit privilégiée. Le journaliste organise l’année suivante le premier Congrès sioniste à Bâle, où il fonde l’Organisation sioniste mondiale (OSM)11 dont l’objectif principal est l’établissement d’un foyer national pour le peuple juif en Palestine.

 

Theodor Herzl, http://en.wikipedia.org.

Theodor Herzl, http://en.wikipedia.org.

 

Theodor Herzl devient le premier président du mouvement. Dès le départ, il cherche l’appui de grandes puissances pour soutenir son projet. Le territoire de la Palestine étant sous souveraineté de la Sublime Porte12, l’Autrichien s’adresse d’abord au Sultan Abdhülhamid13. Le gouvernement ottoman refuse de favoriser une émigration juive en Palestine, craignant de créer un nouveau problème national14. Des colonies agricoles juives – les Aliya – s’installent pourtant en Palestine à la fin du XIXe siècle15. Elles sont toutefois marginales et ne pèsent pas politiquement. Le projet sioniste souffre d’un manque de soutien international. Au début du XXe siècle, les grandes puissances européennes ne sont pas encore prêtes à soutenir les prétentions sionistes en Palestine malgré une nouvelle série de pogroms en Russie. Theodor Herzl part chercher l’appui de Londres16. À cette époque, les autorités britanniques s’inquiètent de l’afflux massif des Juifs de l’Est craignant une recrudescence de l’antisémitisme17. Le parlement vote notamment l’Aliens Act limitant l’immigration en provenance de l’Est18. Favorable au maintien de l’intégrité territoriale de la Porte19, Londres ne peut soutenir les desiderata sionistes. La Couronne britannique propose alors une alternative à l’OSM. En 1904, elle offre au mouvement la possibilité de s’établir en Ouganda20. Cette solution est rejetée par l’organisation malgré l’opinion favorable de son président21. Ce dernier meurt l’année suivante sans que son action ne reçoive un véritable écho international22.

 

En route vers la Déclaration Balfour

Le déclenchement de la Première Guerre mondiale ébranle la politique traditionnelle des diplomaties européennes. L’Empire ottoman s’allie avec les puissances centrales en août 1914 menaçant ainsi les intérêts des alliés23. Possédant le titre de calife24, le Sultan ottoman, sous pression allemande, déclare le djihad25 contre les infidèles. La Triple Entente (France, Grande-Bretagne, Russie) redoute que les musulmans des colonies se révoltent. Elle estime qu’il est temps de mettre un terme à l’agonie de l’« homme malade »26 de l’Europe et à la Question d’Orient27 et décide donc d’entamer des pourparlers à propos du démembrement de l’Empire ottoman28.

L’acquisition de la Palestine devient ainsi l’objet de rivalités entre la France et la Grande-Bretagne29. Les Britanniques veulent administrer ce territoire afin de protéger le Canal de Suez, axe vital en direction des Indes30. Quant à la France, protectrice des catholiques orientaux, elle souhaite contrôler les lieux saints chrétiens31. En mai 1916, Londres et Paris négocient la mise en place d’un condominium franco-britannique en Palestine, les fameux accords Sykes-Picot32. L’élection de David Lloyd Georges au poste de Premier ministre le 7 décembre 1916 va progressivement remettre en cause cette entente et précipiter la conquête militaire de la Palestine33. D’après l’historien David Fromkin, Lloyd Georges est un des rares politiciens à afficher ses sympathies pour la cause sioniste34. Guidé par sa foi, il est persuadé que la venue du Christ sur terre n’est possible qu’après le retour des Juifs en Palestine35. Ce « sionisme chrétien » est d’ailleurs encore très actif dans les milieux chrétiens étasuniens36.

 

Le Mur des Lamentations devant lequel les juifs pleurent la ruine du Temple et l’exil d’Israël. Voyage en Israël et en Palestine avec Antonin Gendre en avril 2017 © Andrea Gennai

Le Mur des Lamentations devant lequel les juifs pleurent la ruine du Temple et l’exil d’Israël. Voyage en Israël et en Palestine avec Antonin Gendre en avril 2017 © Andrea Gennai

 

1917 : « La question juive dans la guerre »37

Petit à petit, le mouvement sioniste se structure et se renforce. Au début de l’année 1917, l’un des responsables du mouvement sioniste, Nahum Sokolov, est chargé de faire connaître les positions de l’OSM aux gouvernements alliés38. En juin, il obtient du gouvernement français, la reconnaissance par écrit de la légitimité des revendications sionistes39. De plus, la situation sur le plan des opérations militaires lui est favorable. Au début de l’année 1917, l’armée russe est très affaiblie et les premiers signes d’une révolution sont évoqués. Au sein des chancelleries alliées, on craint une sortie prématurée de Petrograd de la guerre. Français et Britanniques sont convaincus que les Juifs jouent un rôle essentiel dans le mouvement révolutionnaire en ébullition40. De ce fait, soutenir la cause sioniste revient à l’espoir de maintenir la Russie dans le conflit. Ce n’est en effet pas un hasard si la Déclaration Balfour précède de quelques jours la révolution d’octobre41. En outre, une alliance avec l’OSM doit surtout favoriser l’intervention américaine, du fait notamment de la personnalité de Louis Brandeis, premier juif à devenir juge à la Cour suprême mais surtout proche du Président Wilson42. Enfin, les diplomates français et britanniques pensent que le sionisme est intimement lié au germanisme car les cadres de l’organisation sont essentiellement Allemands43. Ces derniers sont notamment utilisés par Berlin comme arme de propagande à l’encontre de la Russie44. Les événements conduisant à la Déclaration Balfour ne peuvent donc pas être compris sans la prise en compte de l’existence d’un facteur juif par les Alliés45. Ils sont véritablement persuadés que les Juifs possèdent des pouvoirs considérables.

Durant l’été 1917, les Britanniques décident d’entamer des pourparlers avec les sionistes46. Un accord est trouvé au début du mois de novembre. Le 2 novembre 1917, le cabinet de guerre britannique par l’entremise d’Arthur James Balfour adresse une lettre à Lord Rothschild, président de la fédération sioniste anglaise. Elle va définitivement bouleverser l’histoire de cet « Orient compliqué ». Connue sous le nom de « Déclaration Balfour », elle évoque le soutien des Britanniques à l’établissement en Palestine d’un « foyer national pour le peuple juif »47. Pour la première fois, l’existence d’un peuple juif est reconnue par une grande puissance48.

 

« Cher lord Rothschild,

« J’ai le grand plaisir de vous adresser de la part du Gouvernement de Sa Majesté la déclaration suivante, sympathisant avec les aspirations juives sionistes, déclaration qui, soumise au cabinet, a été approuvée par lui.

« Le Gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un Foyer national pour le peuple juif et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte aux droits civils et religieux des collectivités (en anglais communities) non juives existant en Palestine, soit aux droits et au statut politiques dont les Juifs disposent dans tout autre pays.

« Je vous serai obligé de porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste. »

Arthur James Balfour49

 

Les termes employés sont ambigus et les contradictions flagrantes. Comment est-il possible de favoriser l’établissement d’un foyer national juif sans affecter les populations locales non juives? À l’heure où les idéaux wilsoniens soufflent sur l’Europe, les Britanniques refusent donc le statut de peuple ayant des droits politiques aux Arabes de Palestine50. Le terme de « foyer national » est équivoque et nul ne sait ce qu’il signifie véritablement même si le mot « foyer » apparaît déjà dans les résolutions du Congrès de l’OSM de 189751. En outre, cette déclaration contredit d’autres engagements pris par les Britanniques, la correspondance Hussein-MacMahon de l’été 1915 et les accords Sykes-Picot de 1916. La Palestine est ainsi promise à la fois aux sionistes, aux Arabes et en partie aux Français. D’après Gérard D. Khoury, les accords conclus durant la conflagration mondiale ne poursuivent toutefois pas l’objectif de définir clairement les positions de chacun52. Toute entente est donc remise à la fin des combats.

 

Rivalités arabo-sionistes sur fond franco-britannique

 

« En Palestine, une nation a solennellement promis à une seconde, le territoire d’une troisième »

Arthur Koestler53

 

La Déclaration Balfour est rendue publique par la presse dès le 9 novembre 191754. Une forte inquiétude s’empare des Arabes55 : ils craignent que les Britanniques favorisent les sionistes en Palestine. Sur le théâtre des opérations militaires, l’armée du général Allenby perce les lignes ennemies et entre à Jérusalem le 11 décembre 1917. Au Proche-Orient, Londres fournit l’essentiel de l’effort de guerre et se sent maître de toute la région56. Elle rechigne à appliquer les accords Sykes-Picot57. Malgré leur désaccord, les Français vont petit à petit être évincés de Palestine. La Grande-Bretagne va ainsi appuyer les revendications arabes et sionistes pour écarter sa rivale historique de la région58.

Les puissances de l’Entente ne sont pas les seules à s’affronter dans la région. Les tensions s’exacerbent sur le terrain entre les sionistes et les Arabes. Les leaders des deux camps, Haïm Weizmann et l’émir Fayçal, se rencontrent pour la première fois, le 4 juin 191859. Le président de l’OSM expose les objectifs de la mission sioniste en Palestine. Les deux n’excluent pas une coopération mais la priorité est donnée à la guerre. Le 11 novembre 1918, le conflit est terminé. Le sort de la région va définitivement se décider en Europe lors des différentes conférences internationales. Un dernier événement vient complexifier les relations diplomatiques de l’époque. Le 1er décembre, Clemenceau s’entretient à Londres avec Llyod George60. Lors de cette rencontre, le Tigre promet la ville de Jérusalem et de Mossoul au Premier ministre britannique61. Le politicien français refuse de voir la région du Levant perturber les relations franco-britanniques et risquer ainsi de menacer la nature du traité avec l’Allemagne62. Le principe d’une Palestine britannique est définitivement admis.

Les belligérants se rendent à Versailles en 1919. Français, Britanniques, Arabes et sionistes y exposent leurs souhaits sur l’avenir du Proche-Orient63. En marge de la conférence, Fayçal et Weizmann se réunissent à Londres le 3 janvier 191964. Les deux représentants s’entendent et signent un accord connu comme étant « le premier traité de reconnaissance mutuelle jamais signé par les représentants des deux nations en devenir »65. Il ne déroge toutefois pas à la règle de l’ambiguïté des accords signés durant la guerre66. Un État arabe en Palestine est évoqué même si cette dernière doit être définie selon les termes de la Déclaration Balfour67. L’Emir précise néanmoins que ce texte devient caduc si les prétentions arabes ne sont pas reconnues. Selon l’historienne Nadine Picaudou, il est donc faux d’accuser Fayçal d’abandonner la Palestine68.

Rien n’est donc décidé à Versailles concernant le démembrement de l’Empire ottoman. Les différents acteurs se retrouvent à San Remo en avril 192069. Lors de cette conférence, Londres et Paris s’entendent définitivement sur la répartition de leurs zones d’influence au sein des anciennes provinces arabes de l’Empire ottoman. Dans leur projet de mandat du 6 décembre 1920, les autorités britanniques plaident pour que la Déclaration Balfour intègre la Charte du Mandat70. En obtenant l’administration de la Palestine le 22 juillet 1922, les Britanniques transforment la Déclaration Balfour en une obligation garantie par le droit international et sous protection de la Société des Nations71. Après plus d’une décennie de tractations, le sort de la Palestine est définitivement scellé.

 

Bonjour Israël, au revoir Palestine

La Charte précise les objectifs des Britanniques et l’établissement d’un foyer national pour les Juifs y figure explicitement. Les bases d’un quasi État juif sont jetées. Cinq années après la Déclaration Balfour, l’OSM se rapproche de son but initial. Le nationalisme arabe est sèchement battu et les populations arabes palestiniennes n’obtiennent pas de droits politiques, conformément à la missive du 2 novembre 1917.  Pour reprendre les termes de l’historient Rashid Khalidi, le mandat britannique forme une véritable « cage de fer »72 pour les aspirations des populations arabes. Enfin, les fondements de l’affrontement entre Juifs et Arabes pour la possession de la Palestine sont établis. D’un côté, le Yichouv s’organise en créant des institutions politiques73. De l’autre, les Arabes, chrétiens et musulmans, peinent à organiser une résistance contre les sionistes qui bénéficient de l’appui britannique. Le mandat s’achève en 1947 dans le désordre74. Le plan de partage voté évoque la création d’un État arabe et d’un État juif. Une guerre éclate entre les protagonistes. Israël sort victorieux et la Palestine arabe disparaît de la carte. Aujourd’hui, le conflit n’est toujours pas résolu. Un Israël fort et soutenu internationalement s’oppose à un mouvement national palestinien aux abois et divisé75. Quant aux Britanniques, ils s’apprêtent à commémorer ce jeudi le centenaire de la Déclaration Balfour en compagnie du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu76. Bien loin des excuses voulues par Mahmoud Abbas et les Palestiniens.

 


Bibliographie

 

Archives

Communication du texte du Mandat sur la Palestine, Société des Nations, R14. Section économique et financière, 1920, ASDNG, 1/9315/2413.

 

Livres

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Thèse universitaire

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Articles périodiques

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Articles de presse

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DELMOTTE, Paul, « Le centenaire de la déclaration Balfour, aux origines du conflit de Palestine »,publié le 16.10.2017, disponible sur http://orientxxi.info, consulté le 17.10.2017.

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LOUIS, Cyrille, « Il y a cent ans, la déclaration Balfour ouvrait la porte à la création d’Israël », publié le 30.10.2017, disponible sur http://www.lefigaro.fr, consulté le 30.10.2017.

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Sitographie

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Vidéo

Explication du sionisme par Dominique Vidal, vidéo ajoutée le 05.08.2014, disponible sur https://www.youtube.com, consultée le 11.09.2017.

QU’EST-CE QUE LA DÉCLARATION BALFOUR EN 5 MINUTES ?, vidéo ajoutée le 02.02.2017, disponible sur https://www.youtube.com, consultée le 11.09.2017.

 

Références:

[1] Mahmoud Abbas à l’ONU: « Israël détruit les espoirs d’une solution à deux États », publié le 22.09.2016, disponible sur http://www.middleeasteye.net, consulté le 20.09.2017.

[2] (Traduction de l’auteur) BARON, Xavier, Les conflits du Proche-Orient, Perrin, Paris, 2011, p. 45

 4 (Traduction de l’auteur) BARON, Xavier, Les conflits du Proche-Orient, Perrin, Paris, 2011, p. 45

par Roger Errera, Calman-Lévy, 1990, p. 155. IN LAURENS, Henry, L’ORIENT ARABE, ARABISME ET ISLAMISME DE 1798, Armand Colin, Paris, 2015, p. 132.

[4] ALEM, Jean-Pierre, La Déclaration Balfour, aux sources de l’État d’Israël,  Editions Complexe, Paris, 1982, p. 7.

[5] Explication du sionisme par Dominique Vidal, vidéo ajoutée le 05.08.2014, disponible sur https://www.youtube.com, consultée le 11.09.2017

[6] MATAR, Joseph, La résistance palestinienne, du projet sioniste à la proclamation de l’État  d’Israël, Thèse, Université de Nice, 1974, p. 47.

[7] En 1903, le pouvoir russe publie les fameux « Protocoles des sages de Sion » qui traite d’un soi-disant congrès juif travaillant au contrôle du monde. Ce texte est une fabrication de toute pièce.

[8] Capitaine français dans l’armée, il est accusé d’espionnage en 1894 au profit de l’Allemagne. Cette affaire illustre l’antisémitisme français de l’époque. Il a finalement été innocenté en 1906.

[9] LAURENS, Henry, op.cit., 2015, p. 131-132.

[10] Lisa Roméo, « Theodor Herzl: le père du sionisme », publié le 08.10.2010, disponible sur http://www.lesclesdumoyenorient.com, consulté le 25.09.2017

[11] Certains auteurs estiment que les racines du sionisme sont aussi vieilles que la naissance du judaïsme.

[12] De l’arabe Bab-i Âli, la Sublime Porte est d’abord le palais du grand vizir puis le nom donné par les Occidentaux à l’Empire ottoman lui-même. Robert MANTRAN, « PORTE ou SUBLIME PORTE », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 24 octobre 2017. URL : http://www.universalis.fr/encyclopedie/porte-sublime-porte/

[13] Ils se rencontrent deux fois, en 1901 et 1902. SCHNEER, Jonathan, The Balfour Declaration, The origins of the Arab-Israeli Conflict, Bloomsbury, London, 2010, p. 111.

[14] Depuis la fin du XVIIIe siècle, les minorités ottomanes se soulèvent contre le pouvoir ottoman et réclament de plus en plus d’autonomie. PICAUDOU, NADINE, Les Palestiniens, un siècle d’histoire, Complexe, Paris, 2003, p. 25.

[15] Aliya signifie littéralement « montée » en hébreu. Elle symbolise le retour des Juifs en Palestine.

[16] QU’EST-CE QUE LA DÉCLARATION BALFOUR EN 5 MINUTES ?, vidéo ajoutée le 02.02.2017, disponible sur https://www.youtube.com, consultée le 11.09.2017

[17] LAURENS, Henry, La question de Palestine, L’invention de la Terre sainte 1799-1922, T1, Fayard, Paris, 1999, p. 187.

[18] DELMOTTE, Paul, « Le centenaire de la déclaration Balfour, aux origines du conflit de Palestine »,publié le 16.10.2017, disponible sur http://orientxxi.info, consulté le 17.10.2017.

[19] Kapi en turc désigne une porte mais également le siège du gouvernement ottoman. Robert MANTRAN, op.cit., URL : http://www.universalis.fr/encyclopedie/porte-sublime-porte/

[20] Il s’agit du Kenya actuel. SCHNEER, Jonathan, op.cit., 2010, p. 112.

[21] LAURENS, Henry, Les crises d’Orient 1768 – 1914, Fayard, Paris, 2017, p. 312.

[22] SCHNEER, Jonathan, op.cit., 2010, p. 112.

[23] Il signe un traité secret avec l’Allemagne le 2 août 1914 et attaque la Russie le 2 novembre 1914. PICAUDOU, NADINE, op.cit., 2003, p. 38.

[24] Calife de l’arabe khâlifa désigne le représentant et le délégué d’Allah après la mort du prophète en 632. Les Sultans ottomans obtiennent officiellement ce statut en 1774. Ils deviennent les chefs moraux et spirituels de l’ensemble des musulmans. MOULINE, Nabil, Le Califat, Histoire politique de l’islam, Flammarion, Paris, 2016.

[25] Le terme de djihad ici doit se comprendre dans le sens de guerre sainte. Pour plus d’informations sur la signification du « djihad » voir : LAFITTE, Roland: « djihad », publié le 03.02.2016, disponible sur http://orientxxi.info, consulté le 17.09.2017.

[26] Expression prononcée la première fois par le tsar Nicolas 1er à l’ambassadeur d’Angleterre en 1853 faisant référence à l’Empire ottoman. MANTRAN, Robert (sous la dir.), L’Empire ottoman, Fayard, Paris, 1989, p. 501.

[27] Depuis la signature du traité de Kütchük-Kaynardja en 1774, les grandes puissances se disputent le contrôle des territoires perdus de l’Empire ottoman. Ces rivalités sont connues sous le terme de « Question d’Orient. Ibid., p. 421.

[28] HUREWITZ, Jacob Coleman, Diplomacy in the Near and the Middle East, 1914-1956, Octagon Books, New York, 1972, p. 7-11.

[29] FROMKIN, David, peace to end all peace, The Fall of the Ottoman Empire and the Creation of the Modern Middle East, Henry holt and Company, New York, 1989, p. 267.

[30] DIECKHOFF, Alain, Le sionisme est-il le dernier projet colonial ?, L’Histoire, n° 157, juillet-août 1992, disponible en ligne sur http://www.lhistoire.fr, consultée le 17.09.2017.

[31] Au XIXe siècle, la France et la Russie se disputent la gestion des lieux saints du christianisme. Les tensions entre les deux puissances sont notamment à l’origine de la guerre de Crimée.

[32] BARR, James, Une ligne dans le sable, le conflit franco-britannique qui façonna le Moyen-Orient, Perrin, Paris, 2011, p. 45.

[33] LAURENS, Henry, La question de Palestine, L’invention de la Terre sainte 1799-1922, T1, Fayard, Paris, 1999, p. 343.

[34] FROMKIN, David, op.cit., 1989, p. 267.

[35] Ibid., 1989, p. 268.

[36] DELMOTTE, Paul, « Le centenaire de la déclaration Balfour, aux origines du conflit de Palestine »,publié le 16.10.2017, disponible sur http://orientxxi.info, consulté le 17.10.2017.

[37] Titre repris du chapitre 9 de l’ouvrage de LAURENS, Henry, La question de Palestine, L’invention de la Terre sainte 1799-1922, T1, Fayard, Paris, 1999.

[38] SCHNEER, Jonathan, op.cit., 2010, p. 211.

[39] ENDERLIN, Charles, Paix ou Guerres, Les secrets des négociations israélo-arabes 1917-1997, Stock, Paris, 1997, p. 19.

[40] DELMOTTE, Paul, « Le centenaire de la déclaration Balfour, aux origines du conflit de Palestine »,publié le 16.10.2017, disponible sur http://orientxxi.info, consulté le 17.10.2017.

[41] La Révolution russe éclate le 25 octobre 1917 selon le calendrier julien ce qui correspond au 7 novembre du calendrier grégorien. Ibid.

[42] Sans succès cependant puisque le 6 et 7 novembre 1917, les Bolcheviks souhaitent conclure une paix séparée. FROMKIN, David, op.cit., 1989, p. 298.

[43] De plus, Théodor Herzl désirait tenir le congrès fondateur de l’OSM à Munich plutôt qu’à Bâle et en 1904, le bureau central de l’organisation se trouve à Cologne. LAURENS, Henry, op.cit., 1999, p. 325 et 330.

[44] Ibid., 1999, p. 330.

[45] Ibid., 1999, p. 329.

[46] Ibid., 1999, p. 359.

[47] LAURENS, Henry, op.cit., 2015, p. 151.

[48] LAURENS, Henry, op.cit., 1999, p. 366.

[49] LAURENS, Henry, op.cit., 2015, p. 151.

[50] Ibid.v p. 151.

[51] LAURENS, Henry, op.cit., 1999, p. 174.

[52] KHOURY, Gérard D., La France et l’orient arabe, naissance du Liban moderne 1914-1920, Albin Michel, Paris, 2009, p. 84.

[53] Arthur Koestler est cité par Dominique Vidal IN: QU’EST-CE QUE LA DÉCLARATION BALFOUR EN 5 MINUTES ?, vidéo ajoutée le 02.02.2017, disponible sur https://www.youtube.com, consultée le 11.09.2017.

[54] Ibid., 1999, p. 376.

[55] Les populations non juives de Palestine se sont directement opposées au projet sionisme. En 1905, Néjib Azoury publie un ouvrage Le Réveil de la nation arabe dans l’Asie turque dans lequel il prend conscience du danger sioniste en Palestine.

[56] Ibid., 1999, p. 429.

[57] FROMKIN, David, op.cit., 1989, p. 334-335.

[58] PICAUDOU, NADINE, op.cit., 2003, p. 52.

[59] LAURENS, Henry, op.cit., 1999, p. 404.

[60] VAREILLES, Guillaume, Les frontières de la Palestine 1914-1947, L’Harmattan, Paris, 2010.

[61] LAURENS, Henry, op.cit., 2017, p. 481.

[62] LAURENS, Henry, op.cit., 1999, p. 431.

[63] ENDERLIN, Charles, op.cit., 1997, p. 24.

[64] DEROGY, Jacques & CARMEL, Hesi, Le siècle d’Israël, les secrets d’une épopée 1895-1995, Fayard, Paris, 1994, p. 218

[65] Ibid., 1994, p. 218.

[66] CLOAREC, Vincent, LAURENS, Henry, Le Moyen-Orient au 20e siècle, Armand Colin, Paris, 2000, p. 47.

[67] LAURENS, Henry, op.cit., 2015, p. 158-159.

[68] PICAUDOU, NADINE, op.cit., 2003, p. 53.

[69] Ibid., 2003, p. 44.

[70] Communication du texte du Mandat sur la Palestine, Société des Nations, R14. Section économique et financière, 1920, ASDNG, 1/9315/2413.

[71] Khalidi, Walid. « Palestine and Palestine Studies: One Century after World War I and the Balfour Declaration. » Journal of Palestine Studies 44, no. 1 (2014), p, 138-47. DOI:10.1525/jps.2014.44.1.137.

[72] D’après le titre anglais de l’ouvrage. KHALIDI, Rashid, The iron cage, the story of the palestinien struggle for statehood, Beacon Press, Boston, 2007.

[73] LAURENS, Henry, La question de Palestine, Une mission sacrée de civilisation 1922-1947, T2, Fayard, Paris, 2002. p. 38.

[74] L’Assemblée Générale de l’ONU vote la résolution 181 le 29 novembre 1947. Cette résolution met un terme aux obligations de la puissance mandataire. Le plan de partage et la fin du mandat britannique, disponible sur http://www.un.org, consultée le 28.09.2017.

[75] AGHA, Hussein, KHALIDI, Ahmad Samih: « Fin de route pour le mouvement national palestinien et recherche de nouvelles voies », publié le 15.09.2017, disponible sur http://orientxxi.info, consulté le 17.09.2017.

[76] LOUIS, Cyrille, « Il y a cent ans, la déclaration Balfour ouvrait la porte à la création d’Israël », publié le 30.10.2017, disponible sur http://www.lefigaro.fr, consulté le 30.10.2017.

Commentaires

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Andrea Gennai

Salut Quentin, tu m'avais manqué ;) Tout d'abord merci pour ton commentaire et comme tu l'imagines je ne suis pas…

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Quentin S.

Sauf que sous régime britannique la région palestinienne n'était rien, juste un unique territoire quasi inhabité, si ce n'est de…

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Andrea Gennai

Salut Quentin, tu m’avais manqué 😉

Tout d’abord merci pour ton commentaire et comme tu l’imagines je ne suis pas du tout d’accord avec toi.

Concernant le territoire de la Palestine mandataire, il est totalement faux de dire que le territoire était inhabité, je n’ai plus les chiffres en tête mais il est clair que les populations non juives étaient bien plus nombreuses que les Juifs à l’époque de la première guerre mondiale. Il est par contre vrai que des populations juives résidaient en Palestine avant la Déclaration Balfour et je le mentionne dans mon article.

Ensuite, je ne sais pas sur quelle base tu peux affirmer que seuls les Arabes étaient opposés à l’édification d’un Etat pour deux peuples.

Dois-je te rappeler que la déclaration d’indépendance d’israël mentionne explicitement l’idée d’un Etat juif tout comme l’idée de Théodor Herzl. Il s’agit de résoudre la question juive européenne.

Ensuite, à la lumière de la Déclaration Balfour et de la politique britannique à l’époque du mandat, comment peux-tu dire que l’idée première est celle d’un Etat pour deux peuples????

Ensuite, l’OLP a souhaiter (en tout cas dans les textes) une Palestine démocratique pour toutes les communautés dès les années 1970. Ce qui est loin d’être le cas d’israël

Les Arabes israéliens ont vécu sous la loi martiale jusqu’en 1966 (sauf erreur de ma part)

Ce qui est communément appelé l’intimida des couteux est souvent le fruit d’Arabe israélien d’ailleurs donc loin de moi l’idée de défendre toutes formes de violences à l’encontre des civils mais cela dénote quand même un certain problème de la société israélienne à régler la question des Arabes en Israël.

Enfin concernant la guerre fratricide entre le Hamas et le Fatah c’est sûr quel est problématique mais il faut être naïf pour croire que ce problème est uniquement causé par les Palestiniens eux-mêmes. Israël fait tout son possible pour éviter toute réconciliation pour éviter l’édification d’un Etat Palestinien

Quant à la Palestine terre de jihad, je crois sincèrement que tu te trompes, sauf erreur de ma part, les Palestiniens sont peu nombreux dans des organisations comme Al-Qaida et DAECH même si effectivement Azzam est un Palestinien et père du jihad moderne (guerre en Afghanistan etc)

Pour terminer, tes commentaires sur cette question sont partiels et partiaux

Ce qui ne veut pas dire que les miens ne le sont pas mais j’essaie de reconstruire une situation extrêmement complexe dans sa globalité.

Je t’invite donc à en faire de même dans un article pour Jet d’encre ce qui serait non seulement très intéressant mais également important pour le débat

Salutations Quentin
au plaisir de te lire rapidement sur la question

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Quentin S.

Sauf que sous régime britannique la région palestinienne n’était rien, juste un unique territoire quasi inhabité, si ce n’est de quelque nomades et quelques familles juives encore sur place ou ayant déjà émigré. Il n’y avait, d’un point de vue démographique, aucune raison de se priver de créer un état à cet endroit. Malheureusement les revendications arabes et les attaques incessantes de ces derniers n’ont pas permis de maintenir l’idée première d’un état pour deux peuples. Les « palestiniens » ont toujours refusés cette idée, et ils devraient s’en mordre les doigts ! Si des excuses devaient être faite, c’est des dirigeants palestiniens à leur administrés. Les arabes ayant choisi de vivre paisiblement en Israël ont une chance inouïe et en sont conscients, les arabes vivants sous la gouvernance palestinienne sont malheureusement pris dans l’étau de la guerre fratricide qui gangrène ce peuple depuis tant d’année au détriment d’une résolution possible du conflit. Ne pas oublier que le djihad palestinien est le prémice du terrorisme moderne et de la guerre islamiste contre le monde. De quoi faire réfléchir avant de critiquer l’état Hebreu, seul pays démocratique de toute la région, où vivent arabes et juifs avec les mêmes droits.

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