Genre Le 31 mars 2020

Ce que la discrimination fait aux jeunes des minorités sexuelles et de genre

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Ce que la discrimination fait aux jeunes des minorités sexuelles et de genre

image : amnestylgbtqunil

Le 9 février 2020, 63,1% des votant·e·s ont accepté l’extension de la loi anti-discrimination à l’orientation sexuelle en Suisse. Mais si ce résultat « représente une victoire significative contre l’intolérance et les injustices, de nombreuses autres mesures doivent être prises, notamment en ce qui concerne les violences faites aux jeunes trans*, » écrit Joséphine Anne Gut.


 

“I’ll be hurt either way. Isn’t it better to be who I am?”1, assène le personnage d’Eric, interprété par Ncuti Gatwa, dans la première saison de la série Sex Education. Dans cette scène, Eric est en train de surmonter le traumatisme d’une agression homophobe, et qui l’a poussé, pendant un temps, à se censurer et se cacher, par peur des répercussions potentielles. Que ce soit en effet à l’écran ou dans la vraie vie, les discriminations constituent un risque considérable pour la santé physique et mentale des jeunes des minorités sexuelles et de genre. En Suisse, iels présentent des taux de suicide, de dépression et d’anxiété plus élevés que leurs pairs hétérosexuel.le.s et/ou cisgenres. Et si l’extension de la loi anti-discrimination à l’orientation sexuelle représente une victoire significative contre l’intolérance et les injustices, de nombreuses autres mesures doivent être prises, notamment en ce qui concerne les violences faites aux jeunes trans*. C’est en alliant les savoirs théoriques issus des études genre aux guidelines pratiques établies par STOP SUICIDE, spécialisé dans la prévention du suicide chez les jeunes, que je vous propose de traiter de la sursuicidalité des jeunes des minorités sexuelles et de genre, un phénomène révélateur d’inégalités sociales profondes. Comment en parler de manière sensible et responsable, sans renforcer des préjugés dangereux pour les concerné.e.x.s ? Et, surtout, comment agir ?

 

Prévenir le suicide chez les groupes à risques

Il est nécessaire de parler du suicide, si l’on veut espérer l’enrayer. Depuis vingt ans, STOP SUICIDE, porte ce message : ce n’est jamais en ignorant ou en invisibilisant les souffrances des jeunes que ceux-ci ont pu être efficacement pris en charge, soutenus et soignés. Le risque suicidaire doit être abordé et déstigmatisé activement afin de permettre aux personnes qui y sont confrontées d’accéder aux ressources qui leur permettront de s’en sortir, ainsi qu’aux causes structurelles sous-jacentes d’être identifiées et combattues. En effet, si le passage à l’acte est individuel, le contexte socio-culturel, ainsi que la nature et la qualité des politiques de prévention et de prise en charge des jeunes en situation de crise, ont également leur rôle à jouer. C’est-à-dire : des éléments extérieurs à l’individu constituent des facteurs de protection (diminuant le risque suicidaire) ou des facteurs de risques (contribuant à rendre certaines personnes plus vulnérables). Au cours de la dernière décennie, de nombreuses recherches ont permis de démontrer l’existence de facteurs de risques touchant spécifiquement les jeunes des minorités sexuelles (dont l’orientation sexuelle est autre qu’hétérosexuelle) et de genre (dont l’identité de genre ne correspond pas exclusivement au sexe qui leur a été assigné à la naissance).

Ces études, qui rendent compte de taux de suicide, de dépression et de troubles anxieux plus élevés parmi les jeunes non-hétérosexuel.le.s et/ou trans*, dénoncent un état de fait inacceptable, qui nécessite l’intervention d’acteurs publics et privés. Elles sont tout à fait capitales dans l’ajustement des programmes de sensibilisation et de prévention du suicide chez les jeunes. De même, elles peuvent servir à alarmer les écoles et les hôpitaux, lieux où les jeunes des minorités sexuelles et de genre disent faire face à de nombreuses discriminations2 et à rappeler que ces institutions doivent assurer l’égalité des chances à tous les élèves, et l’égalité de traitement à tous les patient.e.s. Dans toute la Suisse, des associations se sont saisies de ce problème social et proposent des groupes de parole pour les jeunes des minorités sexuelles et de genre3. A Genève, Le Refuge propose une permanence pour les jeunes en crise.

Mais, si ces statistiques peuvent servir à alerter les instances publiques et à légitimer les actions des associations engagées pour les jeunes des minorités sexuelles et de genre et/ou la santé mentale des jeunes, elles doivent être soigneusement contextualisées, expliquées, encadrées – au risque, sinon, de finir par causer plus de mal que de bien.

 

L’importance d’un traitement réfléchi et responsable de la sursuicidalité des jeunes des minorités sexuelles et de genre

En Suisse, les jeunes non-hétérosexuel.le.s ont 2 à 5 fois plus de risque de se suicider que leurs pairs hétérosexuel.le.s4. Et c’est avant d’atteindre vingt ans que l’écrasante majorité des premières tentatives de suicide ont lieu5. La santé mentale des jeunes trans* reste largement non-documentée en Suisse, mais les associations spécialisées rapportent être régulièrement confrontées à des personnes en crise6 Ce sont des données alarmantes et douloureuses, révélatrices d’une société qui malmène encore et toujours les minorités sexuelles et de genre. Ce sont également des chiffres sensibles à traiter : les amalgames et liens de causalité houleux sont à éviter. La médecine et la psychiatrie ont un long historique de pathologisation des orientations sexuelles et identités de genre non normatives. Elles les ont longtemps considérées comme des maladies mentales à soigner, des afflictions, des déviances, sources directes des taux de suicide et de dépression plus élevés parmi les personnes concernées7. Et bien qu’il soit devenu moins fréquent aujourd’hui d’entendre ces conceptions stigmatisantes formulées de manière explicite, ce sont des croyances erronées qui imprègnent encore fortement notre imaginaire collectif.

C’est pour cela qu’il est essentiel, quand on parle des jeunes des minorités sexuelles et de genre comme des “groupes à risque” en matière de santé mentale, de spécifier clairement et explicitement que ce n’est jamais leur orientation sexuelle ou leur identité de genre en tant que telles qui sont à la source de souffrances psychiques statistiquement plus élevées. Autrement, on laisse la porte ouverte à des idées reçues dommageables, tant sur les causes toujours multiples et complexes du passage à l’acte suicidaire, que sur les personnes des minorités sexuelles et de genre. Chercher à expliquer la tentative de suicide d’une jeune personne par une cause uniquement, comme des difficultés liées à l’acceptation de son orientation sexuelle ou de son identité de genre, revient en effet à la réduire à une seule facette de son identité pourtant riche et complexe8, passer sous silence les autres problématiques auxquelles elle peut être confrontée et, de ce fait, courir le risque de ne pas la soutenir de manière adéquate dans son processus de reconstruction. C’est également une perception trop simpliste du passage à l’acte suicide : c’est en effet une accumulation progressive de facteurs personnels, interpersonnels et structurels qui fragilise la personne et la prédispose à entrer dans une phase de crise suite à un évènement déclencheur.

Un autre enjeu de taille concerne la (re)production – consciente ou par inadvertance – d’un narratif qui fait du risque suicidaire et de la dépression une fatalité pour les personnes des minorités sexuelles et de genre9. Cela participe de la stigmatisation de ces groupes, en renforçant la légitimée de certains stéréotypes – on peut notamment citer le cliché du “style de vie homosexuel” qui serait particulièrement décadent, rythmé par l’abus de substances, les maladies sexuellement transmissibles et les relations multiples instables, qui mèneraient inévitablement à une fin tragique prématurée, ou du moins à de graves problèmes de santé mentale10. Ces stéréotypes peuvent également avoir un impact direct sur les personnes concernées, notamment en structurant la manière dont iels se perçoivent et se représentent leur vie en tant que personne LGBTIQ+. Ils finissent parfois par fonctionner comme de véritables prophéties autoréalisatrices11. Il s’agit d’un facteur de risque trop souvent négligé, et qu’il me tient particulièrement à cœur de mettre en lumière, notamment parce que j’en ai directement fait l’expérience :

Je me souviens encore aujourd’hui du choc que cela a représenté pour moi, la première fois que j’ai été confrontée à ces statistiques : j’étais tout juste adolescente, et en plein questionnement autour de mon orientation sexuelle, je n’avais au final que très peu d’informations “concrètes” ou de modèles identificatoires, dans la mesure où aucun adulte autour de moi était visiblement non hétérosexuel, qu’il n’y avait pas eu de sensibilisations à ces thématiques dans le cadre scolaire et que les représentations dans les médias restaient encore rares et souvent unidimensionnelles. Une des premières choses que j’ai donc “appris” sur ce que cela voulait dire, d’être une femme bisexuelle, était que j’avais un plus grand risque de me suicider, de subir de multiples épisodes dépressifs et de finir seule. Comme ces données n’étaient ni expliquées en détails, ni contextualisées, cela m’a fait l’effet d’une condamnation, d’une sentence inéluctable. Et j’ai pris un temps considérable à me débarrasser complètement de l’idée que mon orientation sexuelle était une épée de Damoclès, une promesse d’une vie émotionnelle et relationnelle nécessairement douloureuse et torturée. Je sais que je ne suis pas la seule. Il est temps que l’introduction aux grands questionnements identitaires de l’adolescence se fasse de manière plus positive et empouvoirante pour tou.te.x.s.

Afin d’éviter ces écueils, et bien d’autres, il est essentiel de rappeler de manière systématique que lorsque les jeunes des minorités sexuelles et de genre souffrent, ce n’est pas parce qu’iels sont gays, lesbiennes, bisexuel.le.s, pansexuel.le.s, trans*… mais à cause des discriminations homophobes et transphobes. Ce qui pose problème, ce n’est jamais qui iels sont, mais le fait que nous vivons dans une société qui nie, autorise, reproduit, et parfois même encourage l’intolérance, l’ignorance et l’agressivité à leur égard12. Il est ainsi important d’aider les jeunes concernés à développer des outils de résilience personnelle, mais des changements sociaux, culturels et politiques significatifs sont indispensables. Les taux de suicide, de dépression et d’anxiété plus élevés parmi les personnes minorisées sont indéniablement liés à des inégalités structurelles dans lesquelles nous sommes tou.te.x.s pris.e.x.s – parfois en tant que dominé.e.x, parfois en tant dominant.e.x. Le reconnaître est essentiel : afin de déployer des efforts de prévention du suicide adéquats et efficaces, mais également, de manière plus large, afin de progresser vers des rapports sociaux plus égalitaires, apaisés et bienveillants.

 

“Pour l’amour de nos jeunes…”13 : identifier et combattre les discriminations

Les recherches menées sur la santé mentale des jeunes des minorités sexuelles et de genre au cours de la dernière décennie ont permis de cerner les facteurs de risque prévalants: il s’agit du harcèlement (scolaire, particulièrement) et de la stigmatisation. Si leurs effets sont multiples et ne touchent pas tous les jeunes de la même manière ou avec la même intensité, les violences physiques et l’isolement en sont des conséquences possibles, ainsi que de forts sentiments de honte, de peur et d’anxiété14– tous contribuent à la prévalence de symptômes dépressifs et d’envies suicidaires parmi les jeunes concernés. Michel Dorais soulève que ces facteurs de risques sont accentués lorsque les institutions scolaires et médicales manquent à leur devoir d’information, d’encadrement et d’accompagnement : “les jeunes LGBT sont mal outillés pour faire face aux problèmes d’intolérance (…) le tiers des jeunes interrogés n’ont jamais entendu parler d’homosexualité (autrement que négativement) à l’école. Pas étonnant dès lors que la moitié des jeunes interrogés aient eu honte d’être LGBT et aient connu une ou plusieurs périodes dépressives en rapport avec leur orientation sexuelle et les réactions qu’elle suscite15.

Ces recherches font état de la gravité de la situation, mais elles soulignent également qu’à l’inverse d’un environnement personnel et institutionnel intolérant et/ou mal informé qui a des conséquences désastreuses sur la santé mentale, l’acceptation et le soutien des proches et des institutions constituent un facteur de protection majeur16. Quand l’intolérance et les discriminations diminuent, leurs effets néfastes sur les jeunes des minorités sexuelles et de genre font en effet de même. Mais ce n’est pas un combat qu’iels devraient avoir à mener seul.e.x.s. Nous ne pouvons plus nous dédouaner, en tant que collectivité, de nos responsabilités : l’intolérance, l’homophobie et la transphobie font partie du passé et du présent de la Suisse, et elles ont des conséquences réelles, tangibles et délétères.

Il est temps que nous nous interrogions tou.te.x.s sur les représentations que nous avons nous-mêmes en tête, et les idées reçues auxquelles nous adhérons parfois sans même nous en rendre compte, car celles-ci ont des conséquences sur la manière dont nous interagissons avec les personnes concernées17. De même, les comportements et attitudes discriminantes ne doivent pas être banalisés, mais dénoncés et discutés. C’est en œuvrant pour que les mentalités et les représentations sociales changent, mais également en assurant l’égalité des droits dans la loi, que des changements de fond deviennent possibles. Eva Guerriero, jeune étudiante queer genevoise, souligne l’importance symbolique et légale que revêt l’initiative anti-discrimination du 9 février dernier pour les personnes des minorités sexuelles :

On a souvent l’impression d’être perpétuellement punie parce qu’on ne correspond pas à la ‘norme’ : les regards insistants, les remarques désobligeantes, les blagues de mauvais goût, le rejet, voire les coups. L’élargissement de cette loi ne résout pas tout – des efforts de sensibilisation et d’inclusion sont encore nécessaires mais ça montre aux gays, lesbiennes et bisexuel.le.s qu’iels ne sont pas en tort, contrairement aux personnes intolérantes et haineuses. En tant que personne concernée, je me sens empouvoirée d’un outil légal qui me permet de dénoncer les paroles et actes homophobes.

Demander que les professionnel.le.s de la santé et les responsables des écoles soient formés et sensibilisés aux thématiques du suicide et des minorités sexuelles et de genre, afin qu’ils soient en mesure d’aider et d’accompagner les jeunes de manière adéquate et bienveillante, permettra également d’améliorer rapidement la situation des personnes concernées18. STOP SUICIDE propose des modules de prévention du suicide chez les jeunes en Suisse romande. L’association Agnodice, quant à elle, dispense des ateliers de sensibilisation sur les questions trans*. En ce qui concerne les minorités sexuelles, Dialogai est active à Genève, et VoGay dans le canton de Vaud.

Le travail d’information, d’encadrement et de soutien assumé par les associations défendant les droits et le bien-être physique et mental des personnes des minorités sexuelles et de genre doit être reconnu et valorisé, et leur développement encouragé proactivement par les instances publiques et privées. De même, la participation de personnes et d’associations concernées lors de prises de décision pouvant avoir un impact sur les jeunes des minorités sexuelles et de genre devrait être systématique. Quant aux nombreuses revendications et propositions de projet que ces dernier.ère.x.s ont déjà émises, elles méritent d’être considérées avec attention : un collectif genevois a notamment publié une liste de revendications visant à souligner les discriminations légales dont les trans* font l’objet et à proposer des solutions concrètes. Egalement d’une grande importance : le développement de représentations plus diversifiées et positives de personnes non-hétérosexuelles et non cisgenres, et la promotion de narratifs empouvoirants qui ne font pas du suicide une fatalité, ni des souffrances psychiques des jeunes des minorités sexuelles et de genre une étape nécessaire et attendue de leur adolescence.

 

 


Groupes jeunes en Suisse romande :

Groupes de discussion tous âges

Associations LGBTIQ+ 


1.  “Je serai blessé de toute façon, Autant être ouvertement qui je suis, non ?

2. Enquête LGBTIQ+ en Suisse 2019 : Rapport final – Disponible en allemand, français, anglais et italien.

3. c.f liste des associations ci-dessus.

4. Häusermann, M. (2014) L’impact de l’hétérosexisme et de l’homophobie sur la santé et la qualité de vie des jeunes gays, lesbiennes et bisexuel-les en Suisse. Le droit de l’enfant et de l’adolescent à son orientation sexuelle et à son identité de genre, mai 2014. Editeur : Institut universitaire Kurt Bösch. p. 9, et Descuves, A. & Berrut, S. (2013), La santé des femmes qui aiment les femmes

5. Ibid.

6. Retrouvez notre précédent article à ce sujet ici https://blogs.letemps.ch/lisa-dubin/2018/11/30/la-communaute-trans-face-au-suicide/

7. Pugnière, J. M. (2011) L’orientation sexuelle, facteur de suicide et de conduites à risque chez les adolescents et les jeunes adultes ? : l’influence de l’homophobie et de la victimation homophobe en milieu scolaire. Psychologie. Université Toulouse le Mirail – Toulouse II.

8.Cover, R. (2012). Introduction : Queer Youth Suicide, Vulnerability and Unliveable Lives in Queer Youth Suicide, Culture and Identity, pp. 1-17.

9. Cover, R. (2012). Introduction : Queer Youth Suicide, Vulnerability and Unliveable Lives in Queer Youth Suicide, Culture and Identity, pp. 1-17.

10. Pugnière, J. M. (2011) L’orientation sexuelle, facteur de suicide et de conduites à risque chez les adolescents et les jeunes adultes ? : l’influence de l’homophobie et de la victimation homophobe en milieu scolaire. Psychologie. Université Toulouse le Mirail – Toulouse II.

11. Cover, R. (2012). Introduction : Queer Youth Suicide, Vulnerability and Unliveable Lives in Queer Youth Suicide, Culture and Identity, pp. 1-17.

12. Goguen, Y. (2015). Pour l’amour de nos jeunes : le droit d’être libre de discrimination et de violence à caractère homophobe et transphobe à l’école. Revue de l’Université de Moncton, 46 (1-2), pp. 201-228

13. Goguen, Y. (2015). Pour l’amour de nos jeunes : le droit d’être libre de discrimination et de violence à caractère homophobe et transphobe à l’école. Revue de l’Université de Moncton, 46 (1-2), pp. 201-228

14.Goguen, Y. (2015). Pour l’amour de nos jeunes : le droit d’être libre de discrimination et de violence à caractère homophobe et transphobe à l’école. Revue de l’Université de Moncton, 46 (1-2), pp. 201-228 et Dorais, M. (2015). De la honte à la fierté : Contexte et résultats d’une enquête québécoise menée auprès de 259 jeunes LGBT âgés de 14 à 21 ans, Québéc Studies 60, 23-34. et d’Arnicelli, H. & Sellerte, S. (2019) Quand l’hétéronormativité fait mal in Manuel indocile de sciences sociales, Fondation Copernic, pp. 805-809. et Geoffroy, M. & Chamerbland, L. (2015). Discrimination des minorités sexuelles et de genre au travail : quelles implications pour la santé mentale ?, Santé mentale au Québec 40 (3), pp. 145-172.

15. Dorais, M. (2015). De la honte à la fierté : Contexte et résultats d’une enquête québécoise menée auprès de 259 jeunes LGBT âgés de 14 à 21 ans, Québéc Studies 60, 23-34.

16. D’Arnicelli, H. & Sellerte, S. (2019) Quand l’hétéronormativité fait mal in Manuel indocile de sciences sociales, Fondation Copernic, pp. 805-809 et Geoffroy, M. & Chamerbland, L. (2015). Discrimination des minorités sexuelles et de genre au travail : quelles implications pour la santé mentale ?, Santé mentale au Québec 40 (3), pp. 145-172.

17. R. Bize, E. Volkmar, S. Berrut, D. Medico, H. Balthasar, P. Bodenmann, H. J. Makadon (2011), Vers un Accès à des soins de qualité pour les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres, Revue Médicale.

18. D’Arnicelli, H. & Sellerte, S. (2019) Quand l’hétéronormativité fait mal in Manuel indocile de sciences sociales, Fondation Copernic, pp. 805-809. et Geoffroy, M. & Chamerbland, L. (2015). Discrimination des minorités sexuelles et de genre au travail : quelles implications pour la santé mentale ?, Santé mentale au Québec 40 (3), pp. 145-172. et R. Bize, E. Volkmar, S. Berrut, D. Medico, H. Balthasar, P. Bodenmann, H. J. Makadon (2011), Vers un Accès à des soins de qualité pour les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres, Revue médicale.

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